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Inde 2018 - Cochin
Du 19 au 22 Février.
Le 19 au matin nous avons longuement attendu le bus devant une église avec la sono à "donf" et des paroissiens très fervents.
Après avoir vu plusieurs indiennes et indiens faire du stop on a commencé à douter très sérieusement de la probabilité de voir un bus arriver. Effectivement ils étaient en grève (comme quoi ce n’est pas qu’un sport franco-français).
Tous les tuk-tuk étaient pris d’assaut et remplis jusqu’à ras-bord, nous avons donc attrapé un taxi et nous sommes tombés sur une perle de chauffeur !
Cet homme était très préoccupé d’environnement, faisait son potager, son bio-gaz et de la récupération d’eau de pluie.
On a causé écologie et agriculture biologique, et aucun trajet en Inde ne m’a paru aussi court.
Nous avons traversé la fête et le défilé du parti communiste (le Kérala est un état communiste), un grand moment !
On a aussi vu notre seul éléphant du voyage… sur un camion.
Quelques photos pas tip-top avec les téléphones plus tard, nous arrivions à Kochi.
Kochi ou Cochin en VF est une ville portuaire très vivante et très agréable.
Notre petite chambre d’hôte était absolument parfaite, simple mais propre et nos hôtes charmants.
Nous avons pris un bac pour quelques roupies en direction de Vypeen Island pour un parfait coucher de soleil carte postale sur les filets tout au long du front de mer. Nous avions comme tout le monde des images de ces filets chinois mais ils ne sont pas là que pour le décor, et les voir fonctionner a été un très bon moment.
Nous nous sommes baladés pendant 3 jours dans cette douce ambiance, le soir les jeunes se retrouvent pour jouer ou pour compter fleurette devant les kiosques à glace. Nous y avons mangés le meilleur riz Biryani de tout notre séjour cuisiné de main de maître par le cuisinier le plus souriant du monde !
Très joli souvenir.
L’aventure du jour c’est que nous avons été copieusement arrosés de DDT à trois reprises dans les quartiers les plus pauvres de Cochin au bord des canaux.
Un tuk-tuk noyé dans une fumée blanche (au début on a cru qu’il était en train de péter son moteur) qui déboule à vive allure à quelques mètres de nous.
Trop tard pour se mettre à l’abri, on en a bien inhalé.
Le tuk-tuk faisait le tour du quartier et le temps de partir… paf, DDTisés 3 fois. :)
Je réalise que je ne me suis pas fait piquer par un seul moustique cet été… Je ne suis plus comestible, à vie !
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